Groupe E

Groupe E Grange-Paccot, Fribourg2006

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Tout autour de nous est en mouvement, il faut dès lors trouver un moy­en d’utiliser le poten­tiel de trav­ail de ce mouvement de façon dir­ecte’. N. Tesla, New york 1892

New headquarter for a region­al elec­tri­city enter­prise in Fribourg. We wanted to make a light­house out of it. The more elec­tri­city is used, the more the build­ing is present.

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La situ­ation éclairée.

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Une redin­gote en cuivre con­duit le cour­ant à la lanterne. 

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Nicolas Tesla, phys­i­cien vis­ion­naire d’origine tchèque est entre autre l’inventeur vers 1893 du cour­ant altern­atif et de la première lampe à économie d’énergie. Sa recher­ché pro­po­sa­it de trouver les moy­ens de produire du cour­ant élec­trique à partir des forces de la nature, fais­ant de lui un pion­ni­er de l’écologie indus­tri­elle.

Projet Le bâti­ment pro­jeté s’inscrit par sa forme, sa matéri­al­isa­tion, et sa ges­tion de l’énergie dans la pensée human­is­te de Nicolas Tesla. L’édifice est sur­monté d’une lan­terne physique­ment liée à l’état des res­sources éner­gétiques du Groupe E. Des rangées de LED sont mises sous ten­sion par des capteurs, elles indiquent visuelle­ment le niveau d’eau des bar­rages par des vari­ations d’intensité. Cette lan­terne marque l’entrée de Fribourg, un peu comme le lumignon porté au Moyen-Âge par le garde de la porte de Morat.

Situation Le bâti­ment s’adosse à la route de Morat pour définir un parc tran­quille ori­enté sud-ouest. La partie élevée de l’édifice cher­che un dia­logue avec l’échelle du Grand Fribourg; sa partie hori­zontale est struc­turée côté parc par des patios et affiche ain­si une échelle en rap­port au site proche. Un mur ou talus pentu prend son ori­gine dans la culée du pont, il défin­it le bord de ville par un belvédère arbor­isé don­nant sur le val­lon de Lavapesson. Les terres util­isées pour le remblai sont celles de l’excavation du parking.

Plan Les espaces de trav­ail sont ori­entés vers le parc, les loc­aux annexes sur la rue de Morat. Le hall d’entrée per­met un accès au premi­er étage par un escal­i­er renais­sance où se trouve une récep­tion d’étage et les salles de con­férences. La qual­ité du plan réside dans les glisse­ments qui inter­vi­ennent entre les zones annexes et les espaces de trav­ail qui ména­gent des vues diag­onales en pro­fondeur sur le pays­age. La zone de trav­ail est struc­turée par les patios qui séquen­cent l’espace tout en lais­sant une vue générale sur et entre étages.

Matérialisation Le bâti­ment agit comme un con­duc­teur élec­trique cap­able d’illuminer l’ampoule de tête. Il est bardé de résilles de cuivre ten­dues sta­bil­isées dans leur couleur nat­ive. Des stores trans­lu­cides en tissu cuivré situés entre les deux couches de la façade aident à gérer le cli­mat intérieur et par­ti­cipent à la défin­i­tion de la peau et des effets de transparence.

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New headquarter for a region­al elec­tri­city enter­prise in Fribourg. We wanted to make a light­house out of it. The more elec­tri­city is used, the more the build­ing is present.

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Nicolas Tesla, phys­i­cien vis­ion­naire d’origine tchèque est entre autre l’inventeur vers 1893 du cour­ant altern­atif et de la première lampe à économie d’énergie. Sa recher­ché pro­po­sa­it de trouver les moy­ens de produire du cour­ant élec­trique à partir des forces de la nature, fais­ant de lui un pion­ni­er de l’écologie indus­tri­elle.

Projet Le bâti­ment pro­jeté s’inscrit par sa forme, sa matéri­al­isa­tion, et sa ges­tion de l’énergie dans la pensée human­is­te de Nicolas Tesla. L’édifice est sur­monté d’une lan­terne physique­ment liée à l’état des res­sources éner­gétiques du Groupe E. Des rangées de LED sont mises sous ten­sion par des capteurs, elles indiquent visuelle­ment le niveau d’eau des bar­rages par des vari­ations d’intensité. Cette lan­terne marque l’entrée de Fribourg, un peu comme le lumignon porté au Moyen-Âge par le garde de la porte de Morat.

Situation Le bâti­ment s’adosse à la route de Morat pour définir un parc tran­quille ori­enté sud-ouest. La partie élevée de l’édifice cher­che un dia­logue avec l’échelle du Grand Fribourg; sa partie hori­zontale est struc­turée côté parc par des patios et affiche ain­si une échelle en rap­port au site proche. Un mur ou talus pentu prend son ori­gine dans la culée du pont, il défin­it le bord de ville par un belvédère arbor­isé don­nant sur le val­lon de Lavapesson. Les terres util­isées pour le remblai sont celles de l’excavation du parking.

Plan Les espaces de trav­ail sont ori­entés vers le parc, les loc­aux annexes sur la rue de Morat. Le hall d’entrée per­met un accès au premi­er étage par un escal­i­er renais­sance où se trouve une récep­tion d’étage et les salles de con­férences. La qual­ité du plan réside dans les glisse­ments qui inter­vi­ennent entre les zones annexes et les espaces de trav­ail qui ména­gent des vues diag­onales en pro­fondeur sur le pays­age. La zone de trav­ail est struc­turée par les patios qui séquen­cent l’espace tout en lais­sant une vue générale sur et entre étages.

Matérialisation Le bâti­ment agit comme un con­duc­teur élec­trique cap­able d’illuminer l’ampoule de tête. Il est bardé de résilles de cuivre ten­dues sta­bil­isées dans leur couleur nat­ive. Des stores trans­lu­cides en tissu cuivré situés entre les deux couches de la façade aident à gérer le cli­mat intérieur et par­ti­cipent à la défin­i­tion de la peau et des effets de transparence.